Jacques Schwarz-Bart
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Présentation
Révélation jazz de l’année 2007 – meilleur artiste, meilleur album, Jacques Schwarz-Bart s’inscrit dans cette veine du métissage du jazz et des musiques du monde sans jamais s’arrêter d’inventer de nouvelles alchimies. Il nous surprend par la diversité des univers sonores auxquels il nous convie entre saxophone dans la plus pure tradition et rythmes gwoka de Guadeloupe.
« La tournée aux Amériques devrait être une suite logique à la critique unanime et élogieuse recueillie dans la presse américaine à la sortie du premier album."
L'artiste
Fils de Simone et d'André Schwarz-Bart, le célèbre couple d'écrivains, Jacques est depuis son enfance la rencontre de deux mondes. Il découvre le gwoka à l'âge de 4 ans. Anzala, l'un des esprits frappeurs de la Guadeloupe avec Vélo et Carnot, l'initie alors à quatre des sept rythmes de base : le léwoz, le kaladja, le toumblak et le graj. A six ans, alors qu'il se retrouve en Suisse, il découvre le jazz à la discothèque du père de son meilleur ami.
Après des études brillantes à l'Institut d'études politiques de Paris, Jacques abandonne une carrière prometteuse de directeur d'administration pour se consacrer entièrement à la musique et intègre le prestigieux Berklee College of Music de Boston. Puis direction la « Mecque » du jazz : New York.
Jacques enchaînera de très nombreuses collaborations avec les plus grands de la scène soul et jazz : Giovanni Hidalgo, Erykah Badu, Eric Benet, Soulive, Danilo Perez, Ari Hoenig, Bob Moses, Me'shell Ndegeocello, David Gilmore, James Hurt, D'Angelo (qu'il accompagna sur sa tournée Voodoo Tour en 2000) ou encore Roy Hargrove.
Jacques est le compositeur du fameux single Forget regret du RH Factor, la formation jazz-funk et soul de Roy Hargrove.
En 2006, il sort chez Universal jazz son plus ancien projet Soné Ka La (littéralement : "que résonnent les tambours") réalisant ainsi un trait d'union, un mariage heureux entre la musique gwoka de sa Guadeloupe natale et le jazz avec des touches de soul, de funk, de musique brésilienne, de drum n' bass, de dance hall et même de musique impressionniste. Cet album sera unanimement salué par la critique et plusieurs fois récompensé. Il fera par la suite un featuring avec le chanteur de reggae-dancehall, Admiral T.
Il enregistre actuellement le deuxième opus de Soné Ka La qui est une extension du premier avec une couleur encore plus contrastée entre le tragique et le lumineux. Toujours chez Universal ce nouveau répertoire a déjà été acclamé live en Europe avant d'être enregistré, notamment au New Morning et au Bimhuis devant des salles combles et enthousiastes.
Jacques Schwarz-Bart: saxophone
Olivier Juste : percussion gwoka
Sonny Troupe : percussion gwoka
Milan Milanovic : piano
Hervé Samb: guitare
Reggie Wasshington : basse
Dans la presse
La musique gwoka est faite de percussions et de voix. Ouvrir le style gwoka au jazz c’est provoquer la rencontre de l’orchestration de l’improvisation. Un mariage heureux.
Le Figaro, Bertrand Dicale
Jacques Schwarz-Bart initie un nouveau genre musical : le jazz gwoka.
Le Nouvel Obs, Bernard Loupias
Simplement contagieux.
Jazz Times, Brian Soergel
Avec Sone Ka La, la world music atteint des sommets sans précédent, de même que le jazz.
Jazz magazine, Thierry Quenum
Ce saxophoniste hyper-doué utilise une technique unique pour mélanger une musique afro-américaine et les sonorités créoles traditionnelles.
Télérama, Michel Contat
C’est du grand art.
L’humanité, Fara C.
Une vision spirituelle. Une voie unique !
Jazzman, Vincent Bessières
En écoutant la musique de Jacques Schwarz-Bart, soudain, le mot « funk » vient à l’esprit. Le funk, celui qui te fait perdre contrôle (…)
Vibration, Loise Cuendet
Lien vers le site de l’artiste : http://www.brotherjacques.com/
Lien vers des extraits audio : http://www.myspace.com/gwoka
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